Joyeuse Citrouille, et bon Halloween.

Les citrouilles sont vidées, des petits fantômes accrochés au branches des arbres du jardin, la gelée aux araignées refroidit, et la soupe de potiron s'est vue assaisonnée d'un oeil rebondissant... gare à celui qui l'aura au fond de sa louche !

Carpenter était un peu le parrain de toutes les soirées Halloween, c'est devant The Fog que madame et monsieur De gare finiront la soirée, tandis que Matthias succombera aux maléfices de Merlin, Viviane ou Mordred dans une auberge bretonne.

A tous ceux (enfin tous...) qui nous ont lu, de A à Z: passez un bon Halloween, et à l'année prochaine... ou pas !

Zone de désastre

Yankee Holmes

XXS

Waouuuuuuuuhhhhh !

Des lettres... et des chiffres ! : 4

Vices et vertus

Ultimes regrets

Tragi-comique, toujours…

Sur Jennifer

Repose en paix

Quelques minutes précieuses.

Samedi: Des lettres... et des chiffres ! : 3

Prout !

Olga, Andrea et Tom.

Ni pour ni contre quoique

Maison des mille morts.

Large malentendu

Kiwis à la tonne.

Des lettres et des chiffres... 2 !

Je suis mort

Intériorité collaborative.

Hystérie d’épouvante

Gémélité fratricide

Fils prodigue

Epées et Sorcellerie

Samedi: Des lettres... et des chiffres: 1

Déréliction des sens

Créatures et crédibilité

B-Movie, R-rated, films XXX et série Z

Accélérations et ivresse de la métamorphose

  

un jour, un film, troisième année.

A ceux qui nous lisent encore,
c'est bientôt reparti,
le mois d'octobre qui se conclut par la nuit d'halloween est désormais synonyme de chronique quotidienne sur le train. On vérifie les rouages, on resserre quelques boulons, que tout soit en ordre pour le départ, mardi.

A mardi, donc !

71- Man of Steel, Zack Snyder, 2013, Etats-Unis.

 

 Une fois n'est pas coutume, une chronique à bâtons rompus, plutôt en forme de cri du coeur que d'analyse vraiment construite.


Man of Steel est un film très bien vendu. Finement orchestrée, la campagne de promotion, promettant de l'intime et du spectaculaire, a fini par me donner envie de voir ce film à la première heure. Alors que reste-t-il des belles promesses des premières bande-annonces ?

70- Créatures Célestes- Heavenly Creatures- Nouvelle Zélande- 1994

"Nous sommes folles" 

                                                                                       

Pauline et Juliet rêvent de châteaux, de princesses, de licornes, de Chevaliers... Dans une vignette de Hellboy, Mike Mignola faisait dire à son démon « Putain, je rêve comme un fou ». Putain, elles rêvent comme des folles, et il y a un fou avec elle, c'est Peter Jackson. 

69- Black Death- Christopher Smith- Grande Bretagne- 2010

 "Nous nous rendons en enfer, mais Dieu voyage avec nous."

Le chevalier est le héros populaire de beaucoup de films moyen-âgeux, et l'interrogation de son identité est au cœur des drames de bien des films d'aventure chevaleresques, dont les formes plastiques n'ont parfois plus rien à voir avec le moyen-âge : pensons par exemple au succès des Batman de Christopher Nolan.

68- Terracotta Warrior- Ching Siu Tung- Honk Kong- 1989

 

Passer par la Chine avant de revenir à l'Angleterre comme promis ne semble pas complètement illogique et flattera sans aucun doute nos amis de la perfide Albion, puisque à une époque pas si lointaine, l'Empire englobait l'enclave de Hong-Kong, où l'on fit, il y a 25 ans, le plus beau cinéma du monde.

67- The pied piper- Le joueur de flûte- Jacques Demy- 1971- Grande-Bretagne.

A propos de cinéastes conteurs, pourquoi ne pas faire, tout simplement, une lecture littérale du terme, et se pencher sur ce genre un peu particulier qu'est l'adaptation de contes au cinéma ?

66- La maison des ombres- The Awakening- Nick Murphy- 2011- Grande Bretagne

Nick Murphy est un croyant, il croit aux histoires, aux personnages, au cinéma et des nombreuses traditions auxquelles appartient La maison des ombres, la moins noble n'est sûrement pas celle des cinéastes conteurs. 

65- Kill List- Ben Weathley- 2011- Grande-Bretagne

C'est une résurrection en catimini que semble vivre le cinéma fantastique anglais depuis quelques années. Pour le cinéfantasticophile (!) attentif, des événements symboliques marquants, une production régulière et l'apparition d'une poignée de talents attachants ont redonné vie à une production exsangue il y a encore 15 ans, lorsque Clive Barker, Philip Ridley , ou Bernard Rose disparaissaient du paysage du cinéma de genre, tout comme John Boorman, qui fut pourtant, on l'a presque oublié, un immense cinéaste fantastique.

64 - The Crazies, Breck Eisner, USA, 2010

Coming very soon...Or not.