dimanche 19 octobre 2014

19/31: Le Seigneur des anneaux (Lord of the rings) J.R.R Tolkien (1954) par Peter Jackson (2001)

S'il ne fallait en garder qu'un, ne serait-ce pas celui-là, l'unique, le précieux, l'inégalé et inadaptable monument de J.R.R Tolkien ? La réponse en images ...




The Lord of the Rings  (J.R.R Tolkien)- 1954
The Lord of the Rings (Peter Jaskson)- 2001


3 commentaires:

  1. Tu fais à merveille la voix du Nazgul.

    C'est très très pertinent de mettre en avant la vision de Tolkien par rapport à la représentation et la perception de son oeuvre, cela n'a que trop peu été mis en avant lorsqu'on évoque l'adaptation cinématographique de Jackson.

    Dommage que Jackson ne s'y soit pas confronté de la même manière pour son "adaptation" du Hobbit, la confrontation est devenue dérivation, à mon humble perception.

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  2. Te moques pas ! Attends un peu qu'il fasse une adaptation de la série Martine, et là, tu verras vraiment l'ampleur de mon talent !

    concernant Jackson, j'ai tout dit dans la vidéo, sinon que je préfère les adaptations du Hobbit à celles du Seigneur des Anneaux, et que je comprends la position de la famille Tolkien, qui ne veut plus entendre parler d'adaptations cinématographique, surtout à cause de tous les produits dérivés qu'ils ont permis, phénomène totalement écoeurant. mais dire que Jackson est un cinéaste atroce, qu'il n'a rien compris à Tolkien et que ces films sont une insulte me semble disproportionné et absurde. Cela dit, plus que d'autres oeuvres de Fantasy, je pense que le Seigneur des Anneaux est totalement inadaptable et que sa beauté repose entièrement sur la nature du langage. Son succès est d'ailleurs certainement un malentendu- mais ça, c'est un autre débat. On va dire que pour moi, le "vrai" lecteur de Tolkien, c'est celui qui a lu Le Silmarillion, les Contes et Légendes inachevées ou Les Enfants de Hurin, au minimum !

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  3. La famille Tolkien (le fils, je crois) n'est pas opposée aux adaptations ciné que pour les produits dérivés, qui pour eux semblent batardiser la vision du "père", mais pour le produit filmique lui-même, c'est vraiment une question des films en soi, mais pour eux c'est visiblement une question de principe assez drastique. Tu es dur, je n'ai lu "que" le hobbit et le seigneur des anneaux et je ne suis pas un lecteur de Tolkien. C'est d'ailleurs vrai, ça fait une éternité que je les ai lu. Il n'y a que les film en soi qui m'intéressent. Là, je ressors à la fois de la vision des trois "seigneurs" en version longue et du troisième "Hobbit". Je dois être franc, ce troisième "Hobbit" m'a enthousiasmé au plus haut point, c'est du putain de cinéma, à la fois iconique et humain, dramatique et mélancolique, qui marche à merveille, c'est superbe. Le gros regret est que le film, malgré sa longueur, semble précipité et souffre de coupures semblant brutales : quand on a l'habitude du troisième volet du "seigneur", la fin du "hobbit" semble très rapide :-) Là, je sais que j'aurai envie de voir la version longue. Et pourquoi appeler un volet "La désolation de Smaug" alors que les résultats de cette désolation ne sont qu'au début de l'épisode suivant ?

    Que valent les versions longues des deux premières parties, qu'ajoutent-elles ? J'étais sorti très désorienté de la deuxième partie car - outre de ne pas supporter l'effet 3d - je n'avais pu voir ce film qu'en VF, VF absolument immonde (Beorn et Bilbon en VF sont atroces), le tout m'avait mis dans une situation très inconfortable par rapport à ce film qui m'avait désorienté. Il va me falloir lui redonner une chance.

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